Robert M. Zakovitch (Hoplite) – Secteur Clinique

Lorsque la mobilisation générale est décrétée en septembre 1939, Robert est mobilisé le 3 septembre au Mans. Il est titulaire d’une licence de droit et d’un London’s Bachelor of Laws.
Le 1er janvier 1940, il est nommé adjudant, puis adjudant-chef à l’issue d’un cours de perfectionnement des agents de liaison à Auxi le château dont il sort major. Il est affecté à ce titre comme faisant fonction d’officier de liaison à l’état-major de la 4ème brigade anti-aérienne britannique.
En moins de 15 jours, l’armée française est en pleine déroute, l’armée belge n’existe plus et I’armée anglaise essaye de tirer le meilleur parti possible de sa marine pour éviter la capture du corps expéditionnaire. Il se retrouve à Bray-Dunes et réussit à embarquer pour l’Angleterre.
Le capitaine Boyd de la 4ème brigade est arrivé à persuader Robert de rester avec eux pour
préparer le prochain débarquement. Mais les autorités anglaises demandent à tous les soldats
français de la région de rejoindre Liverpool le 2 juin. Puis direction Tidworth. Quelques
bâtiments sont réservés au personnel de la Mission française de liaison où ils sont traités
comme des officiers sans troupe.
Puis c’est le retour en France. De nombreux membres de la Mission qui ont été détachés
auprès des unités anglaises se retrouvent à Sillé-le-Guillaume. Bien des années plus tard,
Robert enverra un récit de son aventure dunkerquoise à l’écrivain Walter Lord, lequel a lancé
un appel à témoin pour l’écriture de son livre « Le miracle de Dunkerque ».
Le 3 juillet, les sanglants incidents de Mers-el-Kébir ont lieu entre les flottes française et
britannique. Les autorités françaises décident alors l’éparpillement de ces anglicistes qui
pourraient bien devenir des anglophiles dangereux. II importe donc de les séparer les uns des
autres dans les plus brefs délais. Des ordres stipulent qu’il faut envoyer les interprètes, par
petits paquets, dans diverses préfectures de la France non-occupée.
Robert rencontre Jean Jacques Caspar-Jordan, qui lui suggère de se présenter de sa part à
P.E. Galey qui recrute pour les Compagnons de France.
Les Compagnons de France représentent de deux à trois mille jeunes répartis dans la zone
libre. Mais à Lyon, siège de l’organisation, des clivages politiques commencent à ébranler le
mouvement. Le groupe dirigé par Paul Fontaine auquel appartient Robert et qui souhaite la
victoire des Anglais est rapidement exclu de l’organisation. Ils créent alors avec d’anciens
compagnons le mouvement des « équipes françaises » qui regroupe des hommes de toutes
tendances politiques qui ne veulent pas que la France abdique : « Nous rassemblons des
bonnes volontés pour préparer la France à recevoir les Alliés. » (2)
Les équipes françaises ont une activité réduite à de grands bavardages et à la publication d’un
bulletin, fruit de la collaboration de Robert et de Marcel Maillard. (3)
Le 12 août 1941, le gouvernement annonce la dissolution des mouvements politiques.
Le Royaume-Uni continue seul la guerre et a un besoin vital de renseignements sur ce qui se
passe de l’autre côté de la Manche. Ce ne sont pas les Français libres de De Gaulle qui sont en
mesure de les renseigner puisqu’ils sont à Londres. Les Britanniques s’efforcent donc de
chercher des informateurs sur le territoire français, en puisant des renseignements à la source,
c’est-à-dire dans les ministères et les bureaux de Vichy, sans en avertir la France libre.

Vers la mi-septembre 1941, Robert trouve un emploi de Chef de District au Ministère de
I‘Agriculture et du Ravitaillement. C’est là qu’il rencontre un ancien capitaine de chars. Son
nom anglais le rend suspect au Ministère, il s’appelle Broadhurst. Dès son entrée au Ministère,
il demande à Robert de travailler avec lui. L’accord est immédiatement conclu. Broadhurst
n’est pas encore membre d’Alliance mais appartient au réseau Copernic. En mars 1942,
Broadhurst devient l’adjoint du général Raynal (Briard) nommé à la tête de la patrouille de
Vichy par Marie Madeleine Méric.

Robert reçoit beaucoup plus de renseignements qu’auparavant. Mais ses rencontres avec Broadhurst deviennent de plus en plus difficiles. Il semble traqué. Robert recherche un autre contact. Il en a un par Vernet avec le 2ème bureau de l’Armée de l’Air. Le capitaine Badré a choisi comme pseudonyme l’anagramme de son nom : Béard.

A l’automne 1942, Robert reçoit la visite du commissaire Lacroix qui est chargé d’une enquête sur lui. (6) Lacroix enlève du rapport tout ce qui peut être compromettant et lui dit : « Ne me remerciez pas, je fais ce que je crois que vous feriez dans des circonstances analogues. Toutefois, un conseil, dites à la grand-mère de votre femme de ne pas crier sur tous les toits que vous aidez les Juifs et que vous souhaitez la victoire des Anglais. »

Le sentiment général est l’insécurité. Robert, prudent, ne couche plus sans une corde sous son lit pour s’enfuir, le cas échéant, par la fenêtre de sa chambre qui donne au premier étage sur un jardin.

Le 11 novembre 1942, à la suite de l’opération Torch (débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre), la zone libre est envahie par les Allemands et les Italiens, au cours de l’opération Anton. Dès lors, la zone libre est appelée « zone sud » et la zone occupée est appelée « zone nord ». Laval est à Paris. Robert apprend que Pétain veut « balancer » Laval. On lui demande de transmettre l’information aux Anglais. Le groupe de Broadhurst est rapidement contacté – par extraordinaire – le renseignement est transmis. Broadhurst revoit Robert et lui dit que Londres est très satisfait et le félicite.

En janvier 1943, Max Bonnafous démissionne et Robert quitte le ministère. Broadhurst revient, repart, puis revient. II raconte à Robert qu’il a été arrêté à Lyon par la Gestapo, mais qu’il a pu s’enfuir en bousculant ses gardiens dans un escalier.

Robert lui reproche le manque de régularité de ses contacts. II admet le bienfondé de ces observations et lui présente Paul Guillebaud (Mouflon).

Le 10 mars 1943 à Vichy, tous les hommes doivent se faire recenser afin que puissent être désignés les oisifs qui fourniront un contingent de travailleurs pour I ’Allemagne au titre de la « Relève « . Lorsque ce recensement a lieu, Robert qui sait à quoi s’en tenir donne son ancienne adresse.

Le général Raynal (Briard) est arrêté sur dénonciation. (7) Après lui, d’approche en approche, presque tout le secteur de Vichy est décimé, 35 agents sont arrêtés.

Le 13 mars, avant le jour, la sonnette retentit. C’est la mère de Denyse qui dit à sa fille de faire filer Robert. La Gestapo s’est présentée à son ancienne adresse, chez les parents de Denyse, à 4 heures du matin. Cette nuit-là, il y a eu 13 arrestations. (8)

Robert est donc en fuite, il se réfugie chez un ami, puis quitte la région sous l’identité de Moreau et se réfugie à Saissac, puis circule dans le sud de la France à la recherche de connaissances lui permettant de reprendre contact avec Londres. C’est une longue période d’errance, il passe de ville en ville à la recherche d’éventuels contacts, notamment chez les protestants.

Robert revoit Maillard qui lui indique comment le joindre. Un jour, il reçoit un message de
lui : « Viens me voir d’urgence à Limoges ». Nous sommes en juillet 1943 à Limoges, Marcel
explique à Robert qu’il lui a retenu une chambre, qu’il va lui confectionner une identité de
garde des communications, et que, le lendemain matin, ils partiront tous deux à Paris où
Marcel le présentera au réseau auquel il appartient « Alliance ».
Une dizaine d’hommes et quelques femmes déambulent dans une allée de jardin non loin de la
rue de Médicis à Paris. Maillard présente Robert à Paul Bernard (Martinet) et Henri Battu
(Sarigue). Ce dernier et Marcel Alexandre Maillard (Grondin) décident de modifications à
apporter aux zones centre ouest et sud-ouest. Robert devient chef de secteur à Toulouse et
devra s’occuper de la région sud-ouest, le sud d’une ligne Bordeaux-Alès, les treize
départements au nord des Pyrénées. Maillard va le former. Il demande un mois pour constituer
son équipe. On lui remettra un poste émetteur lorsqu’il sera prêt. C’est lors de cette rencontre
que Henri Battu lui donne son pseudo : Hoplite. (9)

A Toulouse, Robert commence son travail de recrutement, il s’entoure d’Edgar Roellinger
(Raton) de Jacques Amselle (Verdier) puis de Antoine Fournier (Panda 2).
A Matabiau, un inspecteur divisionnaire leur fournit tous les renseignements qu’ils peuvent
espérer sur les trains en cours d’opération (TCO). Edgar est chargé de prendre des contacts
réguliers avec lui. Edgar et Robert prennent de nombreux contacts et s’évertuent à constituer
un réseau d’informateurs qui puisse leur permettre de préparer des courriers intéressants et
abondants. Les allers et retours à Paris sont nombreux. Il y retrouve Marcel Maillard, Henri
Battu et France Georges.
A Toulouse, la machine commence à tourner, les agents de liaison viennent, compte tenu des
circonstances, avec une assez grande régularité. Fournier les rejoint. Désormais, Robert
demande à Edgar de s’occuper de l’Ouest, Jacques gardant l‘Est et lui chapeautant l’ensemble.
L’organisation est entrée dans la phase d’exploitation. Robert est convoqué à Paris pour
prendre livraison d’un poste émetteur. Ce premier poste sera abandonné dans le train à la suite
de la fouille généralisée des passagers par des miliciens. Un agent de liaison leur apporte un
second poste émetteur baptisé Smetana. Tout comme les membres du réseau avaient des
pseudonymes, chaque poste émetteur avait son nom : Grieg, Bach, Smetana, Serinette,
Galoubet, Wagner, Chopin, Cuicui… Le radio Roger Duclos est recruté.
Maillard vient d’échapper à une arrestation à Limoges et vient se réfugier auprès de Robert.
France Georges, Patrice Roiffé et Marie Aurousseau l’y rejoignent.
A Paris, Robert apprend de Henri Battu qu’on va lui faire parvenir un second poste émetteur.
Il y a eu de nombreuses arrestations, il faut être très prudent. Robert et Roger se fixent quatre
points d’émission sécurisés.
Les communications avec Paris sont difficiles. Souvent, Robert et Maillard doivent faire le
voyage. Le réseau semble secoué de convulsions et les arrestations succèdent aux arrestations.
Les deux amis pensent qu’il y a un ver dans le fruit, que des agents allemands se sont infiltrés
dans l’organisation.
De retour à Toulouse, Robert apprend par France Georges l’arrestation de Paul Roiffé et de
Marcel Maillard le 6 février 1944 à Bordeaux. Ils s’empressent de faire disparaître les
documents compromettant de la planque de Roiffé.
« Du 1er mars au 28 juillet 1944, j’ai continué le travail de S.R., reprenant en particulier la
région de Bordeaux devenue inexploitée à la suite de l’arrestation de Jacques Aubriot (Tortue),
puis la région de Pau à la suite de l’arrestation de Pardaillan Salvat (Ours). » (9)
Edgar est allé deux ou trois fois déjà à Bordeaux et Camaret lui a fourni des renseignements
intéressants concernant les plans d’un sous-marin de poche. Son service est alerté chaque fois
qu’un bateau allemand sort du port. Robert se décide donc d’accompagner Edgar à Bordeaux,
mais lorsqu’ils arrivent, c’est pour apprendre que Camaret est au fort du Hâ, il a été arrêté par
les Allemands.
Au cours d’un voyage à Paris, Robert a appris de Battu l’arrestation de Fontaine et a eu
confirmation de celle du radio Leclercq. II apprend par France Georges, qui lui a fait passer
un mot par des amis, que Maillard a été transféré à Limoges par la Gestapo. En arrivant à la
Préfecture, Il y apprend que Maillard est toujours vivant et doit être déporté en Allemagne,
mais que Roiffé a été fusillé à Brantôme fin mars.

Un fonctionnaire des postes, qui prête aimablement son domicile de Saint-Cyprien, offre à
Robert de lui vendre l’ensemble des plans des lignes téléphoniques allemandes en France, le
système Marianne. Robert file à Paris rencontrer Battu pour savoir si cela peut intéresser
Alliance.
Avant son départ, Robert a l’accord de Battu, qui lui dit que I’argent nécessaire pour négocier
l’affaire sera apporté par l’agent de liaison qui remportera les plans.
A Toulouse, Robert se rend presque tous les jours à l’Atlantic Bar. Il y rencontre de
nombreuses personnes. Un soir, le fils d’un cantonnier qui lui fournit des cartes
d’approvisionnement, vient le prévenir que son père a été arrêté. Ce matin-là, Robert est
légèrement en retard. En approchant de l’Atlantic Bar, il remarque devant la porte une Citroën
15 cv, traction avant à roues pilotes jaunes, la voiture de prédilection de la Gestapo. Ils sont
venus pour lui mais font chou blanc. Les Allemands le recherchent sous les noms de Moreau
et de Franck. Robert utilise durant cette période au moins 4 noms d’emprunt : Franck, Moreau,
Dequenne et Gallet. (8)

Les Américains ont débarqué en Normandie.
Les membres de la petite équipe se retrouvent comme convenu entre eux à Lacaune pour faire
le point. Robert arrive le dernier avec assez de courriers pour alimenter plusieurs émissions.
Privé de contacts et de fonds à la fin du mois de juin 1944, André Girard rencontre Robert à
Toulouse. Son radio invite Londres à lui offrir des possibilités d’émissions nocturnes, à
l’audition plus facile. Robert reçoit la visite de Henri Auguste Gaillard (Buzard), agent de
liaison du poste de commandement et de Jean Debove (Marcassin). Robert sert
d’intermédiaire, son poste Smetana est plus puissant que les autres. (10)
Des instructions arrivent de Paris pour que ce poste émetteur, que Londres entend bien (ce qui
n ‘est pas le cas de tous les postes) soit mis à la disposition de Brive et d’André Girard.
Après plusieurs jours, on annonce à Robert qu’il va être mis en présence de Marie-Madeleine,
qui vient de rentrer d’Angleterre. C’est la première fois qu’il va rencontrer ce chef mystérieux.
Le rendez-vous est au Palmier, en face de l’Eglise Notre Dame de Lorette. C’est une femme
aux cheveux blond cendré, assez grande, mince.
Début août, Fourmilier (Robert Michaux), adjoint de Helen des Isnards (Grand-Duc) se rend
dans la région de Robert à Toulouse.
La nouvelle mission de Robert est programmée pour le 18 août 1944. Marie Madeleine met au
point les dernières patrouilles. Il doit se rendre à Brive avec Jean le radio, y récupérer un poste
radio et rallier La Rochelle. Il n’y a plus de train. Ils embarquent dans un camion jusqu’à
Montlhéry. Là, il semble que le monde s’arrête. Ils continueront donc à pied.
Après, une halte à Etréchy, ils reprennent la route lorsqu’un groupe de jeunes gens se met à
les suivre et fraternise avec eux. Ils vont également à Etampes. Ils n’ont pas couvert une
centaine de mètres que devant eux, à une cinquantaine de mètres, une demi-douzaine de
soldats allemands sort de trous individuels dans lesquels ils étaient dissimulés.
Gardés prisonniers dans un cantonnement, le second jour les prisonniers sont emmenés dans
des jardins entre des maisons et le talus de la voie ferrée. Un jeune officier les passe en revue,
puis on remet à chacun d’entre eux une pelle, et on les instruit de ce qu’il faut faire, en
l’espèce des trous individuels pour le cas où il y aurait des bombardements aériens. Robert se
demande si ses géôliers ne sont pas en train de lui faire creuser sa tombe.
Pour une raison inconnue, il y a contrordre et on les mène à la maison d’arrêt d’Etampes.
Dans la nuit, à deux ou trois reprises des obus passent en sifflant au-dessus du bâtiment. Puis,
tout à coup, la porte de la cellule de Robert est ouverte brutalement et un gendarme français
apparaît, qui lui crie : « Sauvez-vous ! Sortez d’ici en vitesse les Allemands sont partis, mais
ils peuvent revenir. »
Peu avant midi, les premières troupes américaines font leur entrée dans Etampes.
Robert et son radio Waran prennent contact avec la troisième armée américaine. Le capitaine
Lambert de l’OSS envoie le 24 août un télégramme : « Equipe destinée à Sud-Ouest. Alliance – Chef Dragon, chef de secteur Bacchus. Se sont présentés aujourd’hui avec Colonel Biblane.
Espèrent toucher leur chef Dragon (Jean Roger), sinon demandent par nous à BCRA conduite
à tenir ».  (11)
Faute de réponse à leur télégramme, le 30 août, Robert remet le poste émetteur qu’il a
finalement récupéré à Robert Michaux (Fourmilier), qui le rapportera à Brive.  Le lendemain,
les deux hommes remontent sur Paris, ils ont reçu l’ordre de rejoindre leurs chefs sans essayer
de continuer leur mission.
Robert est mobilisé au 22ème régiment de la Région de Paris en qualité de capitaine du 1er
janvier 1945 au 30 avril 1945. Il y commande tactiquement et administrativement la 6ème
compagnie du 2ème bataillon. Intégré comme sous-lieutenant dans l’infanterie de réserve, il
demeure commandant de compagnie dans cette unité jusqu’au 15 septembre 1945, date de sa
démobilisation.
Assidu au Centre d’instruction des officiers de réserve du service d’état-major, il est diplômé.
Il devient instructeur de 1948 à 1950 des candidats au certificat d’aptitude à un emploi
d’officier de liaison (anglais). Il reçoit les félicitations du ministre de la Guerre René Pleven
le 6 avril 1950.
Robert recevra la Croix de guerre à l’ordre de la division N°729 du 17 mai 1945, la médaille
de la résistance en date du 31 mars 1947 (N°9716) et le diplôme de Croix d’Honneur du
Mérite franco-britannique (N°1202).
Un rapport des renseignements militaires concernant Robert indique : « Avec beaucoup de
persévérance, a formé d’excellents informateurs qui ont fourni pendant un an des
renseignements de très bonne valeur, donnant le T.C.O. de la Région de Toulouse et de
Montpellier, les emplacements des dépôts et de P.C. des 16 départements du Sud-Ouest dont il
avait la charge. »

Robert Zakovitch
Extraits de « Chroniques de 2000 jours d’espoir 1940-1945 » (1980)

Sources :
(1) Biographie de Robert Zakovitch – Jean Lefort.
(2) Eugène Martres, L’Auvergne dans la tourmente – 1939-1945, Edition de la Borée, p138/139.
(3) Les compagnons de France – Robert Hervet – page 155
(4) Compte-rendu d’action de Robert Zakovitch du 23 février 1946
(5) L’arche de Noé – Marie Madeleine Fourcade – Fayard 1968 – p 298.
(6) Courrier de Marie Madeleine Fourcade au Secrétaire d’état « Guerre » le 2 juillet 1952.
(7) Déclaration à la Direction générale des services spéciaux datée du 12 septembre 1944. / L’arche de Noé – Marie Madeleine Fourcade – Fayard 1968 – p 408.
(8) Courrier Marie Madeleine Fourcade 2 juillet 1952
(9) Déclaration P332925 – Interrogatoire de Robert M. Zakovitch – Direction générales de services spéciaux – 12 septembre 1944.
(10) Le temps de la méprise – André Girard – Editions France Empire
(11) Télégramme N°31 Hoplite & Waran – 23 août 1944

Dossier Robert Zakovitch Service Historique de la défense – Vincennes
Archives photographiques et documentaires : Collection Zakovitch / Louvat

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